Publié le 13/04/2021 Temps de lecture : 2 min
L’automne dernier, le temps de quelques jours, Anne a quitté sa cuisine et son clavier pour venir découvrir le Roannais et ses trésors de gourmandises.
Une visite privilégiée au cœur d’un tunnel d’affinage
J’ai eu la chance de pénétrer exceptionnellement dans le tunnel d’affinage de la maison Mons, pour découvrir le métier d’affineur qui se fait de plus en plus rare. À la fois sombre, humide et plein de saveurs, c’est un lieu un peu hors du temps. Bien sûr, on repart avec une tomme tressée au lait cru de chèvre pour prolonger le plaisir. À retrouver à la fromagerie de Charlieu ou aux halles Diderot à Roanne.
Un terroir préservé : La Côte Roannaise
À Renaison, j’ai découvert ces vins AOC au Domaine Sérol. Carine et Stéphane partagent une véritable histoire, un vécu. Ils ne sont pas du tout dans le marketing ou le paraître, j’ai adoré cette rencontre. Leurs crus légers et fruités ont un excellent rapport qualité-prix et sont produits à partir de raisins Gamay biologiques et en biodynamie.
Mon péché mignon en Roannais
La réponse facile serait la Praluline® de la maison Pralus… Mais j’ai aussi craqué sur les chocolats de Bertrand Chocolatier. Il fabrique des bouchées cacaotées exquises : au miel ou aux saveurs plus exotiques et originales, de manière toujours recherchée. Il met sa curiosité au service du goût.
Ma belle soirée
Durant le Festival Roanne Table Ouverte, j’ai eu la chance d’assister à un dîner-spectacle à l’Atelier Locavore, au Coteau. La soirée a été très agréable à tous points de vue. J’ai beaucoup apprécié la cuisine du chef Guillaume Goutaudier. Le repas a été rythmé par les sketches de Régis Maynard. Un chouette moment alliant tous les plaisirs sensoriels.
